Hier, le 15 novembre, les écoles de l'île, ainsi que les aéroports et les hôtels ont rouvert leurs portes. Des « personnalités de l'opposition », dévoilées dans la presse cubaine comme des hommes de paille payés par des organisations terroristes à Miami et soutenus par des politiciens étasuniens, voulaient organiser le même jour de « grandes manifestations dans les rues », mais il n'en a finalement rien été.